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AVICE Jean 
| Lieu mentionné sur l'acte de mariage |
| Mentionné présent au décès de sa fille AVICE Marie en 1740 |
| AD 72 - Moitron-sur-Sarthe - BMS - 1700-1749 - 1 MI 1221 R2 - (Vue 56/) |
| AD 72 - Beaumont sur Sarthe - BMS 1693-1718 (suite) - 1 MI 1184 R4 - (Vue 179/) |
| Mention de "âgée de 32 ans" sur son acte de mariage en 1739 |
| AD 72 - Fyé - BMS - 1720-1759 - 1MI 993 R2 - (Vue 81/139) Mention "présence de son père, de sa mère, de son mari..." |
| AD 72 - Saint-Ouen-de-Mimbré - BMS - 1731-1755 - 1 MI 1226 R2 - (Vue 116/) |
| Site : http://gw.geneanet.org/mstruk?lang=fr;pz=clovis+auguste+louis;nz=avignon;ocz=0;p=camille+julienne+berthe;n=goupille |
| Site : http://gw.geneanet.org/mstruk?lang=fr;pz=clovis+auguste+louis;nz=avignon;ocz=0;p=camille+julienne+berthe;n=goupille |
| Site : https://gw.geneanet.org/rioujc?lang=fr&pz=lilian&nz=riou&p=marie&n=avrillaud&oc=1 |
| Mention de "âgé de 27 ans" et Lieu sur l'acte de mariage |
| Naissance de sa fille AVRILLAUD Marie en 1826 |
| AD 44 - La Chapelle-Saint-Sauveur - M - 1812 - 3E34/12 - (Vue 9/13) |
| AD 37 - 6NUM8/143/011 - Naissances, mariages, décès, an XIII-1819 (An 13-1819) - (Vue 402/435) |
| AD 37 - 6NUM8/143/011 - Naissances, mariages, décès, an XIII-1819 (An 13-1819) - (Vue 402/435) |
| Il est agé d'environ 42 ans environ à son décès Rien trouvé au Grand Pressigny |
| AD 37 - Neuilly-le-Brignon - 6NUM6/168/048 - Collection du greffe. Baptêmes, mariages, sépultures, 1717 (1717) - (Vue 10/12) |
| AD 37 - Neuilly-le-Brignon - 6NUM6/168/049 - Collection du greffe. Baptêmes, mariages, sépultures, 1718 (1718) - (Vue 2/3) Soit il y a une erreur de prénom soit plus probablement il y a une erreur d'âge et il faut lire "4 mois" et non pas "4 ans" sur l'acte de décès sinon il y aurait naissance d'un autre Alexandre avant le décès de cet Alexandre çi ! Dans des notes de Charles Babin, il est écrit que Louis est né en 1713 et mort à 4 ans et demi. Cette date de décès est attribué à Louis sur Geneanet |
| AD 37 - Saint-Bauld - N - 1837-1905 - 6NUM8/209/003 - (Vue 44/245) |
| AD 37 - Saint-Bauld - D - 1837-1905 - 6NUM8/209/007 - (Vue 36/235) |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| AD 37 - Manthelan - N - 1836-1886 - 6NUM8/143/013 - (Vue 245/466) |
| Mention de "âgé de 72 ans" sur Carte funéraire en ma possession Inhumé à Pornic (44) le 4 Novembre 1932 (Carte funéraire en ma possession) |
| Il est probable que son prénom lui fut donné en souvenir de Charles Babin, Fusilier à la 1ère Cie, 3ème bataillon, 92è régiment de ligne, décédé à l'âge de 22 ans à Mourmelon, le 23 août 1859 . Après des études brillantes au Lycée de Tours, il entre à Polytechnique en 1879. La notice de l’Ecole le concernant le décrit ainsi : Cheveux châtain foncé - Front droit - Nez moyen - Yeux bruns - Bouche moyenne - Menton rond - Visage ovale - Taille 1,65m. Il est admis dans le service des Ponts et Chaussées en 1881. Jeune ingénieur polytechnicien, il est chargé d’une mission d’étude des monuments et des Travaux publics en Perses et participe aux fouilles de Suse, en Perse, sous la direction de l’Ingénieur en Chef Marcel Dieulafoy. Les travaux de fouille ont lieu pendant les hivers 1885 et 1886 dans des conditions difficiles : les chercheurs habitent sous des tentes, exposés à des tempêtes et aux attaques de brigands dans une région où le gouvernement central dispose de peu de pouvoir. La population n’y voyait là qu’une entreprise sacrilège. Ils se heurtèrent aux accidents du relief lors du transport, sur 400 km, des 275 caisses, envoyées en France, qui contenaient des fragments importants (les lions ailés androcéphales, les griffons, les archers) exposés depuis au musée du Louvre. La reproduction de la frise des immortels orne les murs de la station de métro « Le Louvre ». En 1890, après avoir été en poste dans l’Eure, il est chargé d’une mission de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres aux fouilles de Troie (Asie-Mineur). De 1891à 1903, il est attaché au service des études et travaux du Canal Maritime de la Basse Loire et de l’Amélioration de la vallée de l’Acheneau dans le département de la Loire-Inférieure. De 1903 à 1906, il est détaché au Ministère de la Marine comme Directeur des Travaux hydrauliques du Port de Lorient. En 1906, il devient Ingénieur en chef de la Navigation de la Seine (4ème secteur), Port de Rouen et Seine jusqu’à la mer et se consacre à l’éclairage et balisage de l’Estuaire de la Seine Tout le temps de la guerre de 14-18, il dirigea l'exploitation du port de Rouen, en souvenir de son action, une darse du port, porte son nom. Nommé Directeur des Phares et Balises, il finira sa carrière comme Directeur Honoraire des ports maritimes, Inspecteur général des Ponts et Chaussée, Nommé au grade de Colonel, Etat Major particulier, Service Militaires des voies navigables et des ports maritimes à Rouen (Génie territorial). Il portera le titre de Commandeur de la légion d'honneur. Charles Babin est décédé le mercredi 2 novembre 1932, à l'âge de 72 ans, à Paris et repose au Cimetière de Pornic (non loin de Saint-Nazaire) où il a choisi d’être enterré, sous une pierre tombale en forme de sarcophage. Dans les années 1955, un gardien du phare de l’ile du Pilier se souvenait de l’Inspecteur général Babin, avec ses gants blancs, visitant le phare. Grand commis de l’état, passionné par son métier, il n’oublia jamais son expérience d’archéologue et se passionna pour la métrologie (science de la mesure). Ses travaux sur les proportions et les tracés géométriques d’édifices de l’Egypte antique lui permirent de démontrer que dans l'architecture, chez les Perses comme chez les Grecs, la loi modulaire subordonne toutes les grandeurs à une commune mesure. Ses travaux eurent une influence significative sur ledéveloppement de la recherche concernant l'architecture égyptienne. Est-ce en souvenir de ses voyages ou d’Isis et d’Osiris qu’il fit planter, dans la haie qui longe le chemin douanier devant sa maison à Pornic, des Tamaris. Ceux-ci, face à l’Océan, continuent de perpétuer son souvenir, sans que le passant le sache. Le premier « Charles Babin » basé à La Rochelle, fut bombardé dans le port de La Pallice pendant la seconde guerre mondiale et coulé. Renfloué puis échoué sur une plage de l'ile de Ré, il termina sa carrière ferraillé. Comme Isis rendant la vie à Osiris, les Phares et Balises lui redonnèrent vie sous la forme du second Charles Babin (ex Pierre Durepaire). |
| AD 37 - Saint-Paterne-Racan - M - 1885-1903 - 6NUM8/231/014 - (Vue 77/342) |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| décédé à l'hôpital de Mourmelon le Grand. suite à des diarrhées sporadiques |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| Infos transmises par Marie France Babin (descendante) |
| Lors de son mariage avec GAULTIER Marie, il demeure à Manthelan À la naissance de ses enfants demeure toujours à Manthelan. |
| 1 thermidor an XI |
| AD 37 - Manthelan - NMD - An 5-An 12 - 6NUM8/143/010 - (Vue 438/457) 9 floréal an XII Lors de son mariage avec Marie BOUTET, il est cultivateur en 1838 et demeure à Manthelan Lors du décès de Marie Boutet, il demeure au village de Fontane (Fontenay ?) commune de Saint Baud |
| AD 37 - Saint-Bauld - D - 1837-1905 - 6NUM8/209/007 - (Vue 147/235) |
| AD 37 - Manthelan - NMD - 1820-1835 - 6NUM8/143/012 - (Vue 324/458) Il signe "Emeri BABIN" |
| Naissance de sa fille Marie en 1803 |
| Présent et consentant au mariage de sa fille Marie en 1827 |
| Calendrier Républicain :11 pluviôse an XIII |
| Décédé lors du mariage de son fils BABIN Alexandre |
| Mariage en 1738 |
| Mention de "veuve GOUPIL" sur l'acte de naissance de GOUPIL Françoise en 1765 Mention sur l'acte de mariage de son fils GOUPIL Louis en 1770 |
| AD 44 - Montrelais - Saint-Pierre - BMS - 1738 - 3E104/3 - (Vue 9/18) Signatures su père, du fils (GOUPIL avec fioritures...) et troisième signature GOUPIL non affectée ? |
| naissance :7 pluviôse an IV |
| Gagiste: Dans l'ouest de la France (Touraine, Anjou, Bretagne), personne qui se "louait" pour un an ou plus à un employeur. |
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